En Irlande, on n’aime pas payer d’impôts. Les taxes sur le whiskey étaient calculées sur la quantité d’orge malté ayant servi à le produire. On mélangeait donc l’orge non malté et l’orge malté pour obtenir le Pot Still Whiskey. Telle est la véritable tradition dans ce pays où la vigne ne pousse pas.
Comme tous les whiskeys semblables, de nos jours, il est assemblé (60%-40%) avec un Single Malt Irlandais, plus rond et doux, et ainsi plus convenable pour le palais contemporain.
Writers Tears est, entre tous les whiskeys d’Irlande, celui qui contient le plus de ce Pot Still Whiskey traditionnel.
Aujourd’hui, Writer’s Tears mûrit en fûts de Bourbon américains frais, à l’instar de nombre de grands Single Malts Ecossais. Il y trouve un arôme intense et gourmand de Coco, sur des notes de céréales qui lui viennent de sa composition. Une friandise enjoleuse aux charmes séduisants.
Writer’s Tears signifie «les larmes du poête». L’Irlande est un pays où de nombreux poêtes ont surgi et écrit des oeuvres de réputation mondiale, au cours des temps.
«Writer’s Tears» évoque l’inspiration que donnaient à ces génies leurs complices les Pot Still whiskeys, muses consolatrices dans leurs ascèses où, confrontés à la sécheresse ils languissaient devant leurs arides feuilles blanches. |